17 avril 2008
Scrofulariacée
Plus aucun soufflecomme quand le vent du matina eu raisonde la dernière bougie. (Philippe Jacottet) Le long couloir est glacial, pieds nus sur les carreaux de ciment peint, je descends chercher un verre d’eau. Je n’éteins pas tout de suite. Il dort, paisible....